Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

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Rendez-vous à 9 h 15 sur le parking de la Maison des 2 Caps à Audinghen.
Journée particulière que ce dimanche, de part le nombre, nous sommes 54 participants : un mixte des Arcosiens et de nos amis du Doubs, les « Traines-Bâtons », en séjour d’une semaine sur notre côte d’Opale.
Répartis en 3 groupes, malgré un ciel plombé, nous nous élançons vers le cap Gris-Nez dans la bonne humeur.
Le premier groupe, sur un circuit un peu raccourci, et les deux autres à distance respectable, en passant par le bois d’Haringzelles, puis en direction d’Audresselles.
Nous remontons le chemin côtier, toujours, hélas, sous la brume, cela gâche un peu le plaisir de faire apprécier le panorama à nos amis.
Cheminement agréable qui nous fait passer par pas moins de cinq crans (entailles faites dans la falaise par de petits ruisseaux) : Mademoiselle, Poulet, aux Œufs, Barbier et Sillers, en évitant le cran de Quette toujours impraticable.
Arrivés à Framezelle, l’incontournable chanson de Raoul « Quand le mer monte… » est sur toutes les lèvres !
Puis vient le tour des belvédères du cap Gris-Nez et faute de jouir de la vue, nos invités ont pu admirer les superbes photos réparties tout le long du parcours.
Pendant ce temps le premier groupe rejoint le Cran Poulet et suit le même chemin vers le Gris Nez. Une petite variante permet d’apprécier les activités d’une petite troupe de phoques, qui avaient été prévenus de notre visite et étaient donc bien au RDV .Puis nous rejoignons la plage de la Sirène pour la pause pique-nique (bientôt rejoints par les deux autres groupes) sur les rochers de la plage de la Sirène, où le soleil est enfin de la partie.
Le groupe 1 s’élance sur la plage cherchant un passage parmi les rochers qui se dégagent peu à peu, grâce la marée descendante. La vaste plage de la baie de Wissant découvre ses bouchots et la célèbre épave du chalutier Lord Grey. Par la dune du Châtelet nous empruntons le sentier côtier pour revenir à la Sirène.
Les deux autres groupes prennent le chemin en direction du Châtelet. Le ciel, maintenant dégagé, permet d’admirer la baie de Wissant avec en toile de fond le cap Blanc-Nez.
Retour par l’intérieur des terres, sous un bon pas, jusqu’à notre point de départ.
Merci à tous les participants et rendez-vous ce mardi à Bazinghen.

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Une seule et digne randonneuse de notre association a représenté l’ARCO au cours de cette itinérance organisée par notre comité départemental.
C’est ainsi que Francine FICHEL a parcouru les étapes suivantes :

Mardi 15, La Capselle / Ambleteuse (19 km) :
3 groupes s’élancent à travers la forêt, pour rejoindre Pernes les Boulogne.
Le soleil était de la partie et la forêt confortablement ombragée.
Bientôt voici Wacquinghen et après avoir franchi l’A16 et la voie ferrée, cap sur la Slack.
Rive droite pour atteindre Ambleteuse. La rando se termine par une visite du musée de la guerre.

Mercredi 16, Tardinghen / Peuplingues (24 km) :
Chaude journée ! Jusqu’à 29 °.
Les randonneurs retrouvent avec plaisir mer, plage et côtes anglaises, sur le fameux GR 120.
Voilà Wissant que l’on évite pour entrer à l’intérieur (Herlen, Sombre, …) et enfin Haute Escalles pour un pique-nique fort attendu et bien mérité !
L’après- midi Francine grimpe le mont Hubert pour être récompensée par une vue à 360 °.
Puis le fond Pignon avant de terminer à Peuplingues.

Jeudi 17, Bonningues / Hermelinghen (21 km) :
Le GR 128 emmène les marcheurs aux abords de la gare de Fréthun. On passe alors à la capitale de la randonnée, siège de notre chère Francine : Hames Boucres.
La forêt de Guînes accueille le pique-nique. Après avoir traversé la forêt ils rejoignent Hermelinghen.

Vendredi 18, Le Ventus d’Alembon / Brunembert (18 km) :
Après le beau temps … la pluie pour rafraichir les participants jusque dans le pays de Licques !
A Herbinghen, direction Colembert et un déjeuner ensoleillé au Mont Dauphin.
Puis le GRP prend du dénivelé sur le parcours des Mille Monts. Cap au Sud pour arriver à Brunembert le terme de cette journée.
Une belle aventure de près de 80 km !

Francine vous invite l’année prochaine à l’accompagner à itinérance prévue du 13 au 18 juin 2022 sur la Via Francigena au départ de Calais pour atteindre Saint Omer. Affûtez vos bâtons et préparez vos gambettes !

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27 présents cet après-midi à Blériot, base de voile Tom Souville. Contrainte de jauge oblige, nous formons un groupe de 25 et un groupe de 2 !
Le vent du Nord s’est invité également, surprenant les marcheurs qui s’étaient contentés d’un T-shirt.
Voici la dune escaladée grâce au confortable escalier et nous cheminons sur la plage. Bientôt nous franchissons à nouveau cette dune protectrice. En effet, sans elle, la mer aurait vite fait d’envahir une grande partie de l’arrière-pays. Un des bâtons d’Hervé a voulu prendre la poudre d’escampette et a sauté la rambarde de l’escalier pour se cacher dans les argousiers. Heureusement d’astucieuses randonneuses ont pu le récupéré !
Après avoir parcouru 2 rues, nous commençons le fameux labyrinthe des voyettes. C’est avec précaution que nous les empruntons pour ne perdre personne dans ce dédale.
Rue de l’aviation, On se remémore l’exploit de Louis Blériot qui s’est élancé de cet endroit avec son aéroplane pour franchir le premier le détroit du Pas de Calais.
Nous quittons momentanément Blériot pour longer les travaux de la Digue Gaston Berthe. Cette rénovation sera-t-elle terminée pour la période estivale ?
Un petit passage à nouveau sur la plage avant une pause salutaire à la rotonde.
Retour par le sentier des dunes et celui du Fort Lapin avant de retrouver notre point de départ.
Bienvenue à François et Florence que nous avons accueillis pour la première fois.

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25 au départ, par un temps sec et ensoleillé, nous prenons la route anglaise qui nous mène au-delà de la D215 dans la zone du Camp du Drap d’Or, nom donné à la rencontre diplomatique qui se déroula entre François 1er et Henri VIII d’Angleterre du 7 au 24 juin 1520, entre Ardres, appartenant à la France et Guînes, anglaise à l’époque.
L’échec de l’élection de François 1er au titre d’empereur le pousse à chercher alliance avec le roi d’Angleterre en prévision de l’affrontement inévitable avec le nouvel empereur Charles 1er d’Espagne (Charles Quint). Henri VIII ne s’oppose pas à cette perspective afin de consolider la paix avec la France.
Nous commémorons l’évènement lors d’une pause (à l’ombre) d’une bonne rasade d’eau. Il fait soif par un temps pareil !! et cheminons ensuite à travers champ jusqu’au GR128 pour bifurquer en direction de la Colonne Blanchard dans la forêt de Guînes. Cette colonne de marbre au détour d’un chemin rappelle une historique traversée de la Manche en ballon, effectuée par JP Blanchard et John Jeffries un français et un anglais.
La colonne se situe au point d’atterrissage des deux hommes dans une clairière du bois de Guînes en 1785.
Après une bonne rasade ‘’d’eau de colonne’’, nous traversons la forêt agréablement ombragée.
Nous passons sous la voie de TGV et regagnons Campagne lès Guînes nommée ‘’Campanies’’ au moyen âge. Campanies était l’une des 12 prairies du comté de Guînes. Ces prairies avaient été créées en 928 par le Comte Sifried, prince Danois, dernier envahisseur normand en cette région et considéré comme le premier comte de Guînes.
Nous regagnons ensuite le parking non sans avoir pu admirer 2 des 4 châteaux du village.

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La rando-douce miraculeuse !
18 (2 groupes de 9 ) au départ et 19 a l'arrivée , la situation est assez exceptionnelle et pourtant il n'y eu point d'accouchement en chemin , mais notre ami Arnaud avait eu un peu de « retard à l'allumage »...
Partis de la mairie de Rodelinghem nous traversons le village afin de côtoyer la célèbre fabrique de parfum à l'oignon... plein les narines !
Puis nous longeons la voie de TGV avant de la traverser sur un pont donnant une vue imprenable sur le terrain de sport des passionnés de conduite sur terre.

Cap à l'Est puis au Nord nous contournons la « vieille motte » après le contournement du hameau de Ferlinghen nous atteignons « le Quenet » , là un arrêt s'impose afin de récompenser chaque randonneur par une vue panoramique a 360° plein les yeux cette fois !
Il ne nous reste plus beaucoup à faire et c'est (déjà) l'arrivée !

Je tiens a féliciter Valérie dont c'était la première avec l'ARCO .
A tous RDV sur les chemins au fil de notre calendrier .

JPF

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C’est par une belle matinée que les participants des trois groupes cheminent sous la houlette de Martine, Philippe, Francine F et Patricia, et, découvrent les Hameaux de Zudausques propices à la détente dans un cadre rural verdoyant.
Rappelons notre parcours : partant du parking de l’église de Zudausques, nous empruntons un PR pour nous diriger vers la Liheuse, passons par Noircarme avant d’arriver à L’Adsoit. Nous retrouvons à nouveau un PR et passons à proximité de la Motte et gagner le Bertin. De là, nous cheminons sur le GR145 qui nous permet de jouxter Audenthun, la Leuline, le Mont, les Radis, la Cormette. Nous reprenons pour la dernière fois le PR qui nous permet d’apercevoir de loin sur notre droite les vestiges d’un château ainsi que des blockhaus et regagner ainsi notre point de départ.
Zudausques est un village rural localisé entre la communauté de l’agglomération de St Omer et la communauté des pays de Lumbres. Le point culminant est situé sur le hameau de l’Adsoit (115m).
Zudausques apparaît sous la forme « ELCIACO » en 850, qui viendrait du romain Alcaeus suivi du suffixe acum formant Auseka qui devient Ausque. A ceci s’ajoute le préfixe flamand ZUID indiquant le « sud ». Zudauzeke devient Zudausques en 1820. La commune comprenait de très nombreux fiefs appartenant à d'autres petits seigneurs comme celui de la Tour d'Ausque, situé au centre du village ayant appartenu à la famille du même nom. L'église Saint-Omer de Zudausques, classée monument historique, du XIVe siècle, possède des soubassements du XIIe siècle, un chœur du XVe siècle, une nef de 1779, une tour centrale rebâtie en 1879 et une cloche de 1506 appelée Marie.
Dans le hameau de Liheuse (le lieu du chêne) on trouve les ruines d'une base allemande de lancement de V1. Un descendant de la famille de Sainte-Aldegonde de Noircarme et des Deslyons, se distingue en tant que créateur en 1825 de la verrerie, future cristallerie d'Arques. A Leuline, l'ancienne voie romaine dite la "Leulène" reliait Thérouanne à Sangatte, prolongeant en quelque sorte le tronçon Arras-Thérouanne de la Chaussée Brunehaut vers la Grande-Bretagne. L'église Saint-Folquin du hameau de Cormette (site classé), d'un gothique flamboyant, possède un choeur du 16ème siècle, une sacristie de 1762, un clocher mur (campenard) de 1605.On peut y voir une statue de Saint-Lambert (17ème siècle), deux anges porte-cierges du 16ème siècle. Un cimetière mérovingien du 6ème siècle est contigu à l'église.Un château du 18ème siècle ayant appartenu à l'Abbaye de Ruisseauville (Pas-de-Calais) y subsiste.
A l’issue de cette randonnée, nous pouvons pour la 1ère fois depuis des mois nous retrouver sur une terrasse et partager un moment convivial très apprécié à l’estaminet « la Trousse bière » ,où, le propriétaire nous a accueilli chaleureusement.
Merci pour votre présence et votre bonne humeur, j’espère que vous avez apprécié la randonnée ainsi que les échanges conviviaux. A bientôt sur d’autres chemins.

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Ce premier jour du mois de juin nous nous retrouvons à Coulogne pour la célèbre rando douce : « D’un bord à l’autre » avec une température de 27 ° !!
19 participants répartis en 3 groupes pour respecter le protocole sanitaire.
Nous avons d’abord longé le canal, puis nous avons obliqué sur la droite. Toujours d’un bon pas et sous un franc soleil mais aussi avec une légère brise bienvenue.
Après avoir franchi un passage à niveau et suivi la voie de chemin de fer, nous sommes passés par le Trou Perdu, toujours sous le soleil et dans un paysage rural.
Arrivés à une intersection, nous avons emprunté avec bonheur le chemin du vélo route du Marais : longue allée arborée, tranquille et agréable mais toujours d’un bon pas.
Pour terminer nous retrouvons le Pont de Coulogne sous ce soleil estival bien généreux !
En résumé, une randonnée champêtre très sympathique et à refaire.
Bonjour à toutes et à tous. A se revoir bientôt sur les chemins

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Nous démarrons du parvis de l’Abbaye (fondée en 1075), et descendons la rue du Bourg, nous nous engageons dans un chemin sur la gauche qui longe un petit ruisseau et débouche devant l’entreprise « Licques volailles « .
Nous passons devant la statue d’Alfred (dindon mascotte de la confrérie de la dinde de Licques) et devant La Chapelle ND de bon secours bâtie en 1750, avant de gravir d’abord le Mont Belbert, ensuite le flanc de la vallée à Car et enfin le Mont de Licques.
Nous profitons alors d’un panorama exceptionnel sur le pays Licquois et invitons, mais sans succès, nos compagnons de route à gravir le Mont Cahen.
Nous quittons donc les hauteurs par le chemin de Rappoye pour rejoindre Courtebourne , hameau de Licques , et franchissons la rivière la Hem vers "le Canchy" .
Après avoir parcouru quelques centaines de mètres de chaussée nous retrouvons le sentier (ancienne voie ferrée Le Portel-Bonningues) avant de rejoindre le centre du bourg et l’Abbaye.
Merci à tous de votre participation.

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« Dommage qu’il y ait tant de vent dans ce pays de rêve
Dommage qu’i y ait tant de vent dans ce pays charmant »

En effet, comme dit la chanson de Jean Naty Boyer un vent frais d’ouest, un peu agressif par moment nous a accompagné tout au long de cette rando douce.
Un peu de répit tout de même dans le bois d’Haringzelles, véritable vestige de la Seconde Guerre Mondiale :
Avant 1940, le lieu-dit d’Haringzelles regroupait trois fermes bordées par des murets et des haies.
Les occupants ont quitté les lieux peu après 1940 lorsque l’occupant allemand décida de bâtir la batterie Todt. Cette batterie tirait des obus sur les bateaux alliés empruntant le détroit du Pas-de-Calais.
Le bois a été créé de toute pièce par les troupes allemandes qui ont transplanté des arbres adultes à partir des forêts de Boulogne et de Desvres, afin de camoufler les blockhaus en construction
Après avoir franchi le très modeste ruisseau Le Noirda, nous voici en vue d’Audresselles. Le Noirda a donné son nom à une plage et un camping de ce célèbre village de pêcheur.

Nous passons à côté d’un flobart, un bateau d'échouage capable de flotter dans moins de trente centimètres d'eau et utilisé pour la pêche sur la Côte d'Opale de Berck à Calais jusqu'à la fin du XXème siècle, et notamment à Audresselles et à Wissant.
Avec une proue très large, il peut supporter le choc des déferlantes au moment de son déséchouage. La poupe plate permet à deux hommes de le pousser avec le dos en s'arc-boutant pour le faire glisser sur des rondins posés sur la plage.
Et voici le chemin côtier bordé en cette saison d’abondantes touffes d’ Armeria maritima ou Statice armeriaqui est couramment appelée Gazon d’Espagne ou encore œillet de mer.

Le dénivelé se fait plus important car nous franchissons les crans « Mademoiselle » et « Poulet ».
Une légère montée nous ramène au point de départ après 2 heures de balade aérée !

Bienvenue à Nathalie et Laurent qui se sont joint à nous pour la première fois.

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Rendez-vous à 9 heures sur le parking de l’église Saint-Léger pour une randonnée organisée et guidée par Dominique et Pierre.
Nous sommes 26, répartis en 3 groupes, espacés d’une cinquantaine de mètres, menés par Pierre, Patricia et Philippe.
Le nom Polincove, d'origine néerlandaise, signifie "ferme de Paul".
L’église St Léger, reconstruite aux frais de la commune en 1811, est en briques blondes et la tour est en moellons de calcaires, surmontée d’une flèche en plan octogonale crénelée reposant sur une terrasse rectangulaire.
Nous quittons le village, passons sous la ligne TGV et nous nous dirigeons vers Recques-sur-Hem. Après un avoir longé la Hem sur quelques centaines de mètres, nous retrouvons la campagne et le bois de Recques.
A la sortie de Recques-sur-Hem, à droite, se trouve la chapelle Notre-Dame-des-Bois, appelée aussi chapelle « Ave-Maria » à cause de la grande inscription sur sa façade visible de la route. Cette chapelle a été construite en 1863, comme l’indique la date au dessus du porche. Elle a la particularité d’avoir un petit clocher.
Nous traversons le lieu-dit « la Petite Hollande ! » et parvenons au village de Muncq-Nieurlet après avoir une nouvelle fois franchi la ligne TVV, cette fois par le dessus.
Traversées des pâturages en bordure du « Tiret », petit cours d’eau qui prolonge la Hem et nous amène aux étangs du Moulin Bleu, aménagés en parcours de pêche à la truite.
Retour sur le parking par l’arrière de l’église bordée de son cimetière.
Météo mitigée avec malgré tout un ciel lumineux, des températures encore un peu fraiches dues au reliquat de la tempête des derniers jours.
Merci à tous les participants et rendez-vous ce mardi à Audinghen.

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Rendez-vous à 14 heures sur le parking de la Fontaine devant la mairie pour une randonnée organisée et guidée par Dominique et Pierre.
23 marcheurs ont répondu présent, répartis en 4 groupes dans le respect des contraintes de jauge imposées.
Nous quittons le village en empruntant le GR128 avec vues sur les infrastructures du Tunnel sous la Manche d’un côté et de l’autre le Fond Ambrel.
Premier passage au dessus du lien fixe, située des dizaines de mètres plus bas dans la craie bleue. Une de nos randonneuses a même failli coller son oreille sur le sol pour écouter un éventuel passage d’une navette !
La partie supérieure du site abrite des pelouses calcicoles pâturées par les génisses d’un éleveur local. Elle offre un point de vue remarquable sur la plaine maritime du Calaisis.
Nous passons à proximité du terrain de moto-cross et nous nous dirigeons vers l’ancienne Cimenterie.
Remontée par le Fond de la Forge (ancienne carrière de craie) par un joli petit sentier en sous-bois.
Retour sur le GR128 (deuxième passage au dessus du tunnel) parsemé de flaques d’eau, qui nous mène jusqu’à la Voie Romaine.
Descente en douceur vers Peuplingues sur l’asphalte.
Agréable balade printanière sous un beau soleil et des températures propices à la marche.
Bon anniversaire à Marie-Jo ainsi qu’à Hervé qui nous a régalés de quelques gourmandises, merci à lui.
Merci à tous les participants et rendez-vous ce dimanche à Polincove.

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28 participants (3 groupes de 6 et 2 de 5), 12.5km.
Un départ échelonné avec menace de pluie que nous avons évité pendant toute la randonnée.
Nous sommes passés devant le LEM (Les Enrobés de Marquise), qui fournissent des enrobés de Montreuil à Dunkerque.
Voici le village de Bernes et son Eglise, dont les origines remontent au VIIIème siècle (Lolingaheinum). Elle a joué un rôle important au moyen âge durant la guerre de 100 ans.
En effet, la frontière Anglo-Française traversait l’église au début du XVème siècle ; les anglais et les français avaient chacun leur porte d’entrée : les anglais disposaient du cœur et les français de la nef.
En poursuivant le chemin nous sommes arrivés à la plus grande carrière de France,dont le 1er coup de pioche fut donné en 1896. Au début ce fut principalement pour l’extraction du marbre, puis, en 1950 le concassage a commencé.
Dans les années 2 000, on y installa le plus gros concasseur d’Europe : il peut broyer des blocs de 2 m3 (votre voiture). De ce fait, la capacité des camions est passé de 80 à 100 tonnes !
A ce jour on extrait jusqu’à 4 millions de tonnes par an !
Puis nous avons poursuivi en longeant l'autoroute pour atteindre le petit village de Bernes. Nous avons suivi le sentier très bucolique qui longe le ruisseau de Blacourt et les champs de colzas.
Le retour au point de départ s'effectua sous le soleil.
Merci à tous les participants.

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Quel plaisir de se, retrouver après près de 7 mois d’interruption ! Même de loin, derrière les masques, et dans les yeux les sourires étaient présents.
C’est ainsi qu’avec beaucoup de discipline, les 5 groupes se forment sur le vaste parking Hubert Latham avant de cheminer tranquillement. Pas toujours facile d’estimer une distance de 50 m minimum …
Une montée régulière d’abord au pied de la digue artificielle de 35 m de haut du Fond pignon. Cette digue retient 5,3 millions de m3 de craie bleue, extraite lors du creusement du tunnel sous la manche du côté français. Plus haut , nous dominons l’étang qui peut accueillir les oiseaux migrateurs pour une pause salutaire.
Voici le Mont Hubert, sommet de notre balade qui nous ouvre l’horizon sur le Calaisis, la baie de Wissant et le Cap gris Nez. Paysages bien familiers et pourtant toujours aussi spectaculaires sous ce franc soleil et cette bise rafraichissante.
Nous parcourrons le tour des belvédères découvrant au passage le ballet des avions de talentueux aéromodélistes.
La descente vers Sangatte nous permet au passage de saluer l’aviateur Hubert Latham qui, par deux fois, essaya la traversée de la manche, deux fois il échoua, la seconde fois au port, si l’on peut dire, à moins de 500 mètres de la côte anglaise. C'était le 19 juillet 1909.
Le 25 de ce même mois, Louis Blériot réussissait cet exploit et recevait le prix du Daily Mail pour cette traversée de Sangatte à Douvres.
Enfin, près de notre arrivée, une large tache blanche dans la mer qui se retire nous intrigue. Quel est le phénomène responsable de cette anomalie ?
L’hypothèse la plus probable est que c’est à cet endroit que Gargantua s’est lavé les dents avant de rendre visite au Dragon de Calais !
Les animateurs et responsables de groupe remercient chaleureusement les participants à cette première randonnée de reprise pour leur discipline et leur respect des contraintes imposées par les gestes barrières.
Rendez-vous, pour ceux qui ont réservé, ce dimanche 16 mai au départ de Marquise pour une balade « en passant par les carrières ».

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C'est sous un soleil radieux, que 37 randonneurs prennent le départ vers le mont de Couple, en démarrant par une belle petite côte pour la mise en jambes.
Puis nous partons vers la table d'orientation au sommet de celui ci, une petite pose nous permet d'admirer le paysage et d'apercevoir les côtes Anglaises.
Nous poursuivons le chemin jusque la D249 qui nous mène jusqu'à la fontaine aux animaux puis nous traversons le cimetière pour retrouver la place de la salle des fêtes où nous retrouvons nos véhicules.
Merci à tous pour votre participation

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Nous étions 39 au départ de cette balade qu'on pourrait appeler "dans les pas de LYSE" puisque c'est aussi un hommage à Lyse qui nous a quittés le 20 septembre dernier, que la majorité des randonneurs présents ont très bien connue et beaucoup estimée.

Yves a préparé un texte pour rappeler quelques bons souvenirs partagés avec Lyse et nous observons une minute de silence.

Nous sommes guidés aujourd’hui par Annie et Geneviève une première pour elles !
Une chance le soleil est de la partie, après une matinée très pluvieuse.

Nous partons vers le lac d'Ardres, un petit détour par la rue Couteau pour passer sur les petits ponts qui enjambent le lac.
Les sols sont jonchés de feuilles, ça sent l'automne.
Nous nous dirigeons vers Brèmes par la rue des Rainettes qui a été refaite, pour arriver à la passerelle qui enjambe le canal et  continuons par la route du Watergang  et ensuite  des chemins de terre  pour arriver devant chez Lyse cette maison qui évoque tellement de bons moments pour ceux qui l’ont connue.

Nous entamons ensuite le retour à travers un autre chemin de terre qui rejoint le vélo route de BREMES et après avoir traversé prudemment la D 231  en suivant les conseils d'Yves.
Nous nous retrouvons sur la ligne d'Anvin ou  passait naguère le train de CALAIS ANVIN qui faisait un arrêt à ARDRES mais la gare est disparue aussi.
A Ardres nous traversons un lotissement puis une porte  très ancienne  dans les  fortifications  pour nous retrouver dans la rue Lambert et retour au parking.
 Nous n'avons noté aucune perte malgré cette participation record.
 

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Après l’accueil de Dominique l’époux de Rose-Marie et de Lison la petite fille de Marie-Jo qui n’a guère déméritée de toute la durée de la rando, nous commençons notre parcours.
Un arrêté préfectoral nous oblige à contourner le cran de Quette, mais, nous permet de rejoindre le cran des Sillers. Nous poursuivons, par le cran Barbier, la pointe de Riden, le cran aux Oeufs, le cran Poulet, le cran Mademoiselle et la pointe du Nid de Corbet. Ce cheminement nous offre une vue constante sur le trafic maritime, mais surtout nous permet d’apprécier la palette aux couleurs irisés que la Côte d’Opale met à notre disposition. Par la suite, nous cheminons vers les Cardaux, Haringzelles, Waringzelle, les Flatières, le Sodit avant de regagner notre point de départ.
Le Cap Gris-Nez situé à Audinghen, représente un site emblématique du parc naturel régional des caps et marais d’opale accueillant 2,5 millions de visiteurs par an. Proche de l’Angleterre (30,3km), le Gris-Nez est un point stratégique pour le transport maritime international entre la Manche et la Mer du Nord (plus de 500 mouvements de bateaux par jour).
Les crans résultent de l’entaille faite dans la falaise par l’écoulement plus ou moins abondants de petits ruisseaux . Ces vallons suspendus aux noms significatifs comme le cran aux œufs, résulte d’une lente érosion ainsi que d’un éboulement dû aux argiles sous jacentes en formes d’oeufs. Par contre le cran Poulet est un lieu de pèlerinage à Notre Dame des Flots en mémoire des nombreux naufrages survenus à cet endroit.
Je vous remercie pour votre présence et j’espère que cette sortie vivifiante vous donne l’envie de nous retrouver prochainement.

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Ce Mardi 20 courageux randonneurs étaient pr ésents pour braver le mauvais temps .
Départ sous la pluie depuis la statue du Semeur, a Clerques direction le nord du village :
Nous prenons ensuite a droite un chemin ,pour traverser un pont sur la rivière la Hem et
se retrouver à Bonningues les Ardres,de là nous suivons l’ancienne ligne de
chemin de fer Calais Envain
Nous retraversons la Hem ,le village de Clerques et retour au parking toujours
sous la pluie, randonnée bien humide mais un parcours assez agréable. Merci a tous

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Nous partons du parking à proximité de la place de la Mairie et arrivons rapidement à La Chapelle Leclerc, récemment restaurée, que nous laissons sur la gauche avant d’aborder le Château de la Baronne de Draeck ( appelée la Dame aux loups connue pour avoir exterminer jusqu’à 767 loups ).
Nous continuons jusqu’au lieu-dit « La Grasse Payelle », direction Polincove dont nous découvrons déjà au lointain le clocher de son église.
De là, nous empruntons la rue du Moulin pour arriver au Moulin Bleu (connu pour son parcours de pêche à la truite), nous traversons la Hem et longeons le watergang du Tiret que nous enjambons ensuite pour rejoindre le fort St Jean par la rue de Moulle et la rue de la Rivière.
Nous entamons notre retour en direction du Blanc Pignon et enfin La Chapelle Leclerc pour rejoindre le parking.
Merci aux participants

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Samedi 10 octobre : adieux déchirants / Perros-Guirec (Ploumanac’h) 3 km
Sur le chemin du retour à la maison, un petit groupe de 5 fait un détour pour aller admirer les chaos de granit rose des pointes de Ploumanac’h.
A chaque détour du sentier, c’est une surprise : chacun, selon sa sensibilité, voit des formes extraordinaires dans ces amas d’énormes rochers ponctuant la côte mais aussi les jardins.
Une importante carrière de granit rose s’est implantée et un parc accueille une exposition de sculptures.

Nous avons eu beaucoup de chance de pouvoir réaliser ce séjour en ces temps si particuliers.

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Vendredi 9 octobre : La baie de Morlaix (côté Trégor) et Barnenez. (13 km)

Un linéaire est organisé pour cette journée au départ de la plage de Guerzit. C’est un beau soleil qui nous accueille et nous commençons notre cheminement sur de gros galets clairs. Puis le sentier s’élève et contourne quelques pointes. Là, le passage est parfois délicat, rétrécit au milieu d’un rocher ou en bordure de précipice
Mais peu importe, le spectacle est là : ilots, gros amas granitiques où chacun devine un animal, un personnage, une plante.
Voici Trévenez, le sentier devient plus facile et nous filons vers le fond de l’anse.
Barnenez est à notre portée et nous arrivons à l’entrée du Cairn où Francine et Christian nous attendent. Transfert des chauffeurs et pique-nique au soleil.
Un petit groupe part faire quelques achats à Morlaix tandis que les autres entame un petit tour du Cairn qui de révèle un moyen tour !
Tout le groupe se retrouve à l’heure dite pour découvrir ce site préhistorique. En effet nous découvrons là le plus grand Cairn d’Europe construit vers 4 000 ans avant notre ère !
Il servait de sépultures à des personnages importants et devait montrer aux autres la puissance de ce peuple capable d’élever un tel monument de plus de 25 0000 tonnes de pierres.
Nous sommes impressionnées par tant d’ingéniosité, de force et d’organisation à une époque où l’on ne connaissait pas la roue !
Qui sommes-nous, pauvres randonneurs devant de telles prouesses ?