Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

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Départ de la mairie de Fruges, on passe devant l'église Saint-Bertuphle puis on passe au-dessus de la rivière la Traxenne, puis on passe devant un grand bâtiment qui est un EHPAD les Epriaux.
On quitte la ville par un chemin qui monte rue Blanche, on poursuit par les chemins pour rejoindre Senlis, puis on traverse le bois Le Blanc Mont, puis le bois de Radinghem.
Au château d'eau on rencontre nos deux camarades qui passent en voiture car eux vont faire que l'après-midi et vont nous attendre au terrain de camping d'où l'on va manger.
On continue par les chemins pour rejoindre Coupelle-Vieille, on passe une deuxième fois au-dessus de la Traxenne, puis enfin le terrain de camping le petit Paradis d'où on est super bien reçu par Mr et Mme Broutin.
Après s'être restaurés on reprend avec nos deux camarades, les chemins bien ravinés puis devant la centrale électrique puis on traverse le parc éolien.
Puis Coupelle-Neuve, et reprendre des chemins bien ravinés et finir en passant sous un porche et le parking de Fruges.

La commune est traversée par dix cours d'eau :

la Lys, d'une longueur de 134,01 km, qui prend sa source dans la commune de Lisbourg, dans le département du Pas-de-Calais, et se jette dans l'Escaut au niveau de la commune de Gand, en Belgique ;
la rivière Traxène, d'une longueur de 6,23 km, qui prend sa source dans la commune de Coupeel-Vieille et se jette dans la Lys au niveau de la commune de Lugy avec comme affluents dans la commune :
le ruisseau de Coupelle-Vieille, d'une longueur de 3,48 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Traxenne au niveau de la commune,
le Fruges, d'une longueur de 2,17 km qui prend sa source à Coupelle-Neuve -et se jette dans la Traxenne au niveau de la commune,
le Coupelle-Vieille, d'une longueur de 1,69 km, qui prend sa source et se jette dans la Traxenne au niveau de la commune,
le Basleau, d'une longueur de 1,61 km qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Traxenne au niveau de la commune.
le Rê d'Herbecques, d'une longueur de 1,27 km, qui prend sa source au niveau de la commune de Verchin et se jette dans la Lys au niveau de la commune ;
le Herbecques, d'une longueur de 1,69 km, qui prend sa source au niveau de la commune de Canlers et termine sa course dans la commune avec comme affluents dans la commune :
le fossé du bois Burette, d'une longueur de 2,48 km, qui prend sa source au niveau de la commune de Coupelle-Vieille et se jette dans le Herbecques au niveau de la commune,
le Petit Saint-Pol, d'une longueur de 1,11 km, qui prend sa source au niveau de la commune et se jette dans le Herbecques au niveau de la commune.
Merci à tous les participants.
Marie-Jo, Lucile et Phil

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Aujourd’hui mardi départ de la rando depuis le parking de la salle des fêtes de Leulinghen - Bernes
Nous nous dirigeons sud- est vers l’église ST Léger .Pendant plus de 40 ans de la fin du xiv siècle au début du xv l’église a été un lieu de négociations entre Français et Anglais
Chaque délégation entre dans l’édifice religieux par sa propre porte et à ainsi le sentiment d’être chez soi , les anglais disposent du cœur et les français de la nef s’y rencontre tous les puissants laïcs et ecclésiastiques on y discute de tout on y vit selon les codes de la noblesse et de la chevalerie . A la suite de cette visite nous empruntons un chemin longeant les carrières de Marquise pour arriver dans la zone artisanale .Nous dépassons le rond point ,traversons le parking PL, l’autoroute a 16
Au retour nous suivons sur notre droite le PR qui nous amène au hameau de Bernes puis au Vieux Moulins, au lieu dit Uzelot pour terminer sur la D191 ancienne route nationale et retrouver le parking. Agréable balade variée facile météo parfaite Merci à tous
Francine Christian

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Audinghen 12 participants
Au départ de la Sirène on gravit l' escalier pour poursuivre le long de la falaise jusqu'au point de vue de la baie de Wissant puis direction le Châtelet (d'où Guy nous quitte), pour arriver sur la plage, puis Wissant.
Après la p'tite récup on prend la direction du Fartz pour arriver au parking de la Motte du Bourg, après avoir traversé la route on poursuit vers Tardinghen et sa petite église d'où Guy nous attend et Elisabeth nous quitte là.
On continue pour rejoindre de nouveau le Châtelet puis le chemin carrossable et les Berniques.
On continue vers Framezelle et le parking de la Sirène.

Merci à tous les participants.
Phil jeanne marie

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Nous sommes 31 randonneurs (ses) à cheminer de laies en laies dans la forêt domaniale de Guînes.
Nous empruntons des chemins de terre, des sentiers goudronnés. Dans les sous-bois, nous écoutons la nature, quelques chants d'oiseaux et le vent dans le haut des arbres Nous nous ressourçons dans les sous-bois. L'été est encore là, cela fait du bien à notre santé, notre moral et notre mental.
A certains endroits, la nature reprend ses droits. Le chemin est envahi par des herbes hautes tels que des orties, les ronces et d'autres herbes toutes aussi piquantes.
Notre valeureux chevalier Philippe nous a ouvert le chemin. Merci.
Nous passons sous la ligne TGV . Nous rejoignons le parc de loisirs d'aventure.
Nous marchons pour nous diriger vers le point d'arrivée sur le parking près de la maison forestière.
Merci à tous et toutes pour cette belle randonnée.
A bientôt pour de prochaines aventures.
SYLVIANE

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Randonnée au cœur des landes d’Heuringhem et d’Helfaut – Une immersion nature et histoire dans l’Audomarois
Ce matin nous entions 21 pour notre randonnée qui débute devant la mairie d’Heuringhem, sous un ciel incertain avec pour objectif la découverte des magnifiques landes environnantes et du patrimoine naturel et historique de cette belle région de l’Audomarois.
Nous entamons notre parcours en direction du bois d’Heuringhem, avant de rejoindre le bois de Longatte. Ce dernier abrite plusieurs blockhaus, vestiges impressionnants de la Seconde Guerre mondiale. Non loin de là, la Coupole d’Helfaut nous rappelle la portée stratégique du site pendant le conflit.
Nous poursuivons notre marche et pénétrons dans une réserve naturelle, protégée. Une longue ligne droite bordée de chevaux en pâture et de moutons en éco-pâturage nous offre un moment paisible, entre prairies ouvertes et paysages préservés. Ce site témoigne de la volonté locale de protéger la biodiversité.
En sortant de la réserve, nous longeons la Melde, une rivière tristement connue pour ses crues récentes ayant touché la région. Nous rejoignons ensuite le village d’Heuringhem. Une belle montée nous conduit dans une nouvelle réserve naturelle : les Bruyères, un espace avec ses plans d’eau, véritables havres pour les pêcheurs et les amoureux de la nature.
Nous avançons sur notre chemin avec une alternance de petites pluies et de rayons de soleil. . Malheureusement, sur le dernier tronçon, c’est une pluie plus forte qui s’est abattue sur nous,
De retour à notre point de départ, nous reprenons les véhicules en direction du café Le Floréal à Helfaut, pour une pause bien méritée et conviviale.
Lors de notre pause repas, nous scrutions le ciel avec l'espoir de revoir enfin le soleil. Finalement, 15 courageux ont décidé de reprendre le chemin malgré l'incertitude. Ils ont bien fait : ils ont été récompensés, car nous avons eu très peu de pluie par la suite, et même quelques belles éclaircies. Comme le dit Olivier, qui habite Helfaut : "Ici, on a un microclimat !" Et il faut croire qu’il a raison !
Mais l'aventure ne s’arrête pas là ! Nous repartons depuis le café pour une seconde boucle en direction de la réserve naturelle du Plateau des Landes. Sur notre chemin, un panneau explicatif nous renseigne sur la mystérieuse "Rivière Jaune", un vieux récit raconte qu’il existait jadis une rivière énigmatique au-dessus d’Helfaut, sans source ni embouchure clairement définie. Une famille y vivait en bord de méandre, dans une maison aux murs d’argile jaune orange. Lors d’un violent orage, un arbre s’effondra, détruisant la maison qui tomba dans l’eau, mêlant l’argile aux courants. Les deux enfants disparurent. Pour leur rendre hommage, les parents déposèrent chaque année des fleurs de genêt jaunes au bord du ruisseau, qui en prit ainsi le nom En réalité, le nom a une explication plus terre-à-terre : ce bras d’eau provient de nappes perchées sur le plateau d’Helfaut. Les anciens sites d’extraction de silex, creusés dans le sable, se sont remplis d’eau. Lors du lavage des silex, le sable ocre ou roux coloration naturellement l’eau en jaune. C’est cette couleur qui inspira le nom de la rivière moderne,
Nous approchons ensuite des bois entourant l’ancien sanatorium de l’hôpital d’Helfaut, construit dans les années 1930 et 1931 . Ce lieu, destiné à soigner les patients atteints de tuberculose, offrait un cadre calme et boisé particulièrement le Pin , où l’air pur et le repos faisaient partie intégrante du traitement. On passe même devant l’ancien lieu de promenade des malades, et des bancs et les allées rectilignes entre les arbres. Une chapelle, dédiée à sainte Barbe en raison du grand nombre de mineurs soignés au sanatorium, est édifiée dans le même temps.Les randonneurs ont été surpris a la vue de ce grand hangar de promenade dans lequel les malades prenaient le soleil et l'air pur
les sanatoriums étaient une réponse aux limitations des traitements médicaux de l'époque, en particulier avant la découverte des antibiotiques. Ils permettaient de combiner des traitements physiques comme le repos et l’exposition à l’air pur, avec une gestion sanitaire de l’épidémie. Ils ont joué un rôle crucial dans la lutte contre la tuberculose avant que des traitements plus efficaces soient développés.
La randonnée s’achève dans les environs de Bilques, après cette journée riche en découvertes naturelles et historiques ,
À la fin de notre randonnée, Jeanine et Olivier nous ont invités chez eux pour partager une boisson et conclure cette magnifique journée en beauté. Un grand merci à eux pour leur accueil généreux, mais aussi pour avoir proposé ces deux parcours qui nous ont permis de découvrir ces superbes réserves naturelles. Grâce à eux, nous avons passé un moment inoubliable en pleine nature !
Un grand merci à tous les participants pour leur bonne humeur et leur enthousiasme. L’Audomarois continue de nous émerveiller par sa richesse et sa diversité, et cette randonnée en est une nouvelle preuve !

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33 participants par cet après-midi ensoleillé mais venteux !
Après la traditionnelle photo du départ, nous dégustons de délicieux biscuits offerts par Nadine que nous sommes très heureux de retrouver après une pause forcée pour cause de maladie. Puis nous partons vers Balinghem par le Chemin de la Motte. Frank et Laurence sont venus avec Volt un magnifique chien russe de 9 mois, très calme et docile.
Nous passons au Nord de Balinghem pour trouver de petites routes peu fréquentées qui serpentent au bord du marais. Mais en cette saison, la végétation très développée ne nous permet pas d’apercevoir les nombreux étangs qui ne sont visibles que sur la carte !
Une petite pause nous permet de nous régaler de chocolats à la liqueur ou de dragées ! Merci Francine.
Un vague chemin qui longe les jardins et un fossé nous permet de quitter les abords du marais pour rejoindre le Clairsou. Le vent, très taquin essaye de freiner notre avancée, mais c’est sans compter sur la détermination de notre troupe de randonneurs qui en ont vu d’autres !
Voici déjà la banlieue d’Andres où nous faisons une petite halte à la chapelle Notre Dame de Lourdes où celle-ci se serait adressée à Sainte Bernadette pour l’inviter à se désaltérer à une fontaine aujourd’hui disparue.
On appelle aussi ce petit édifice « la chapelle à loques ». La rando se termine par un sentier préservé au beau milieu d’un champ de blé. Merci à l’agriculteur qui continue de rendre possible ce passage !
On se quitte ravis d’avoir respiré l’air d’un bel été, bien aéré, non sans se rappeler les prochains TDV : dimanche à Heuringhem et mardi à Guînes.

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C’est par une belle matinée ensoleillé que nous démarrons. Heureusement que Dieu Eole nous accompagne en chemin de son doux souffle ce qui nous permet de progresser sans trop souffrir de la chaleur.

Nous partons de la salle des fêtes de Louches,et nous nous dirigeons vers le Courgain, Les Terre Calonne, Landrethun Les Ardres, Yeuse, l’Ermitage, puis, empruntons le GR 128-GR 145 qui nous mène à la Chapelle St Louis où, un magnifique panorama s’offre à nous. Nous continuons en direction du Bois du Parc, la Vallée des Neudins, les Sept Fontaines pour ensuite regagner notre point de départ.

La vallée des Neudins est située sur la commune rurale de Louches dans le Pas de Calais en région des Hauts-de-France et fait partie du parc régional des Caps et marais d’Opale.
Il est difficile de déterminer l’origine de Louches. Généralisation de la forme féminine losche de l’ancien français « lois », dérivé du latin luscus « qui ne voit pas bien », du picard et de l’ancien français louce, loce, puis, du francique lotia « grande cuillère » en néerlandais. Les habitants se nomment Louchois et Louchoises.
Anecdote ; un gentilhomme s’étant présenté pour entrer au service de la Dauphine, femme de Monseigneur, fils de Louis XVI, fut refusé parce qu’il était « louche » et que l’on craignait de pareils attributs à la Princesse qui était grosse. Quelques temps après, ce pauvre diable ayant appris qu’on ne refusait pas les borgnes, s’avisa de se mettre un emplâtre sur l’oeil droit, et, obtint en qualité de borgne ce qu’on lui avait refusé lorsqu’il était « louche ».

L'époque de la construction de l'église appelée église de St Omer reste incertaine. La base de la tour du clocher laisse supposer une construction en 1862/1863 par Thomas le Secq de Launay (seigneur de St Martin) et son épouse. La plaque en cuivre fixée dans la nef l’atteste, le grand bénitier est en marbre noir et pierre de Marquise.

La chapelle St Louis culmine à 122m et permet un point de vue sur la vallée de la Hem, la Flandre côtière et l’Artois. La chapelle, a été édifiée à la fin du XV en pierre de taille dans le style gothique flamboyant par le grand bâtard Antoine de Bourgogne. Elle a été classée en 1913 au titre des monuments naturels et restaurée en 1930.
La chapelle compte énormément dans la mythologie locale. En effet, des druides gaulois y auraient pratiqué leur culte, et l’empereur romain Septime Sévère au IIIe siècle aurait fait camper son armée sur la colline avant de passer en Grande Bretagne. Au XVIIIe, siècle Saint-Louis y aurait fondé le culte de Notre Dame de Grâce, aujourd’hui vénéré à Ardres. De plus, certains prétendent que de Saint-Louis, on peut gagner par souterrains, Ardres, Tournehem, voire Calais et Saint Omer. Des souterrains existent effectivement, mais, ne conduisent qu’à de banales carrières d’extraction de craie, où les Allemands voulaient installer un hôpital militaire qui n’a jamais été terminé mais dont les plans ont été relevés.


Je vous remercie pour votre présence, votre bonne humeur qui s'est manifesté dès potron minet, ainsi que Martine et Elisabeth, deux Calaisiennes qui ont étoffées notre joyeuse troupe .

Patricia Francine F

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Nous partons 34 randonneurs de Tardinghen, en direction de Wissant, agréable station balnéaire au nom évocateur : Wissant signifie en vieux saxon "sable blanc", un clin d'œil à ses plages lumineuses. Notre animateur nous raconte l'histoire de thomas beckett personnage célébré lie à la présence de la via francigéna entre canterbury et Rome parcouru par des milliers de pèlerins chaque année L’histoire de Thomas Becket est marquée par un conflit tragique entre l’Église et le roi Henri II d'Angleterre, un exil en France durant 6 ans, 1170 un retour dramatique en Angleterre où il fut assassiné dans sa cathédrale la même année. Sa canonisation rapide et les miracles associés à sa tombe en firent une figure de vénération, bien que son culte ait été détruit avec l’avènement de la Réforme au XVIe siècle. Son passage par Wissant reste un élément historique significatif, commémoré par la plaque de l’église de Wissant, marquant ainsi un lien entre cette petite ville française et un des événements majeurs de l’histoire médiévale anglaise.
Dans la cathédrale de Canterbury se trouve au sol une bougie dans une chapelle marque l « emplacement du tombeau de Thomas Beckett ,
Le sentier nous mène à travers les dunes, Arrivés au sommet d’une dune, nous avons la chance d’apercevoir la Villa Typhonium, étonnante demeure d’inspiration égyptienne, dont une visite est prévue plus tard dans notre randonnée.
Nous rejoignons ensuite la digue de Wissant, véritable paradis pour les kitesurfeurs qui y trouvent un terrain de jeu idéal, face à la splendide vue sur le Cap Blanc-Nez. L’ambiance y est à la fois sportive et contemplative.
Au bout de la digue, nous suivons le fleuve Herlen, discret mais chargé d’histoire, qui serpente à travers le village. Ce cours d’eau prend sa source au pied du Mont de Couple. Jadis, il servait de refuge aux contrebandiers, amusait les enfants qui y pêchaient des anguilles, et accueillait un lavoir ainsi qu’un moulin, aujourd’hui disparus.
Nous poursuivons notre chemin vers le cimetière, situé à l’extérieur de la ville. Un monument émouvant y rend hommage aux nombreux marins disparus en mer, mémoire d’un passé maritime riche mais souvent tragique.
Le point d’orgue de notre sortie est sans aucun doute la visite de la Villa Typhonium. Un grand merci au président de l’association qui nous a permis d’accéder à ce lieu singulier,
Cette villa avec ateliers et appartements a été construite en 1891 par l'architecte belge Edmond Devigne pour un couple de peintres douaisiens, Adrien Demont et Virginie Breton. De style néo-égyptien, l'édifice, isolé sur les dunes, est construit en brique, enduit de ciment et couvert d'une terrasse en béton. L'agrandissement, réalisé en 1911, comprend une porte monumentale inspirée de la porte de Denderah en Egypte. Pour cette extension, Virginie Breton a sculpté un grand panneau, avec un dessin incisé dans le ciment frais représentant sa famille en costumes égyptiens avec un aéroplane de Blériot. La vue sur la baie de wissant est magnifique au pied de cette superbe villa.
Le retour à notre point de départ se fait par le chemin du Fartz, offrant encore de beaux panoramas sur la campagne environnante.
Notre randonnée se termine par un aller retour vers l observatoire de la motte au bourg pour contempler notre belle cote d opale
Une randonnée agréable, enrichie par des découvertes patrimoniales et ponctuée d’une visite inoubliable. Merci à tous les participants pour leur bonne humeur, et à bientôt pour de nouvelles aventures ! Un grand merci au propriétaire de la villa typhonium pour ses explications ludiques et enrichissantes,

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Il est 8h15 et le ciel délivre des trombes d'eau,,,,,,,,,,,,,que faire ?
Après consultation de l'équipe d'animation:on annule la rando mais
on maintient le repas au petit paradis ,
Le repas est bon de l'avis de tous mais la sono un peu forte,,,,,,,,,,,,,
Toutefois le ciel étant redevenu plus clément une poignée d'irréductibles
digne d'un Asrerix se lance dans l’aventure en effectuant à rebrousse poil
le parcours prévu le matin . D'autres plus prudents ayant choisi l'option
Tour de France à la télé .
Rando à reprogrammer dans de meilleures conditions météo !
Merci d’avoir permis
la présence ARCO au près du restaurateur , et à bientôt .

Francine F

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Ce mardi de canicule, le départ de la rando est reporté à 18 h 15. Il y a foule ce soir sur le parking de la plage de Blériot et c’est non sans difficulté que l’on réunit les 22 participants. Un petit tour de digue promenade Gaston Berthe où nous constatons de nouveaux aménagements comme ces longs bancs de bois confortables.
Puis nous rejoignons le chemin du bassin des chasses, sans oublier d’évoquer la naissance et les études de Louis Blériot.
Par quelques rues de Blériot Plage nous voici maintenant sur la digue Mouron et bientôt dans quelques voyettes du maintenant célèbre labyrinthe. Une petite halte pour découvrir l’emplacement de la ferme Grignon qui accueillit dans un hangar en 1909 le Blériot XI.
Devant le monument érigé en 1911, nous retraçons le déroulement de cette extraordinaire matinée du 25 juillet, avant de rejoindre le chemin au pied des dunes puis l’escalier du VVF. Un léger vent frais d’Ouest nous accompagne et nous fait complètement oublier la forte chaleur du début de l’après-midi.
Un petit cheminement sur la plage à marée descendante avant de franchir à nouveau un escalier et de rejoindre le chemin dans les dunes et ses points de vue surélevés qui nous montrent une plage encore bien fréquentée à près de 20 h 30.
Nous nous promettons de nous revoir dimanche à L’église de Tardinghen et Mardi prochain au parking de la motte du Bourg, toujours à Tardinghen.
Certaines ont pris leur maillot de bain, mais auront-elles l’envie de faire trempette alors que la température a chuté de près de 10 ° ? Nous aurions pu aussi emporter notre pique-nique et dîner simplement sur la plage en cette soirée estivale. Ce sera peut-être pour une autre fois.
martine yves

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15 participants, 11 KM et 19 Km
Après avoir fait la photo de départ et quitté la mairie on emprunte un petit chemin herbeux, on suit un peu de route pour faire un tour derrière une ferme pour voir des animaux ( canards, chèvres....etc).
puis on poursuit par des chemins pour suivre la Liauwette une des rivières qui se jette dans la Sandre et de belles maisons avec d'immense terrain.
On reprend un peu de route pour passer au-dessus de Liauwette puis on suit un chemin pour rejoindre La Jumelle puis Warnes et la Ligne d'où 4 de nos compagnons nous quittent pour rejoindre leur voiture et ensuite nous retrouver au café chez Sylvie.
Nous poursuivons vers Cauchie d'Esques puis on emprunte un petit chemin pour passer à côté du château d'eau, et rejoindre Ecques d'où nos camarades nous attend pour manger notre repas au café mais là surprise sur la place du village il y avait une brocante, un orchestre, et une ducasse.
Nous nous asseyons sur les tables posées dehors pour cette occasion, pour nous restaurer et boire un coup car la température est élevée.
Après la photo de l'après-midi prise par notre photographe attitré Christian.
On quitte le village malgré qu'on serait bien resté pour faire un tour d'auto tamponneuse mais il faut repartir pour les 6 km qui nous reste, on reprend la route puis la Basse Ville, les chemins et les sous bois.
On suit la Morande le ruisseau qui lui aussi se jette dans la Sandre et le parking.

ROQUETOIRE

Les habitants s’appellent les Roquetoiriens

1967 Hab.

La commune, située dans le bassin Artois-Picardie

La Sandre, drainée par sept cours d'eau :

1 La Melde du Pas-de-Calais, d'une longueur de 15,29 km, qui prend sa source dans la commune d'Helfaut.

2 La Liauwette, d'une longueur de 7,63 km qui prend sa source dans la commune.

3 Le ruisseau la Becque, d'une longueur de 5,4 km qui prend sa source dans la commune.

4 Le Choquet, d'une longueur de 1,63 km qui prend sa source dans la commune.

5 La rivière la Melde, d'une longueur de 1,59 km qui prend sa source dans la commune.

6 La Morande, d'une longueur de 1,43 km qui prend sa source dans la commune.

7 La Jumelle, d'une longueur de 1,06 km qui prend sa source dans la commune.


merci à tous de votre participation

Marie-Jo, Lucile et Phil

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Rendez-vous à 14 heures sur le parking de la Base Tom Souville pour 18 randonneurs , 25 d'entre
nous étant partis en séjour dans les Vosges.
Dans un cadre de tranquillité, avec un plan d’eau de 25 ha, situé à cinq minutes de Calais, la base de
voile Tom-Souville est l’endroit idéal pour la pratique de nombreuses activités nautiques telles que
la planche à voile, l’optimist, le canoë…
Située en bordure de mer, la Base “Tom Souville” dispose d'infrastructures idéales pour les
séminaires et les séjours de groupes (capacité de l'hébergement 93 lits.)
Pour les amateurs de petite randonnée, un parcours d’environ 2.5 km vous permet de faire le tour du
plan d’eau et vous permettra d’observer les oiseaux et autres petits animaux qui demeurent dans ces
lieux.C'est le point de départ idéal pour découvrir les richesses de la Côte d'Opale.
La température est agréable pour marcher malgré le vent fort accompagné de quelques bonnes
rafales ce qui incite la majorité des participants à enfiler un coupe-vent.
Nous faisons tout d'abord le tour du plan d'eau où nous observons, avec intérêt, des pratiquants de
windfoil. Le windfoil est une pratique de la planche à voile, transformée grâce à son aileron
porteur .Cette technologie permet de décoller au-dessus de l'eau.
A la sortie de la base de voile, nous prenons la direction de la ville de Blériot-Plage puis, nous
tournons, à droite, après la ferme Duytsche. Nous prenons alors le chemin de la Française que nous
traversons .Nous nous dirigeons vers le lotissement “ Les Salines De La Gloriette ” que nous allons
contourner jusqu'à la digue Mouron.
M Mouron obtint , en date du 7 Avril 1767, l'autorisation d'assécher les terrains achetés entre les
Dunes du Fort-Mahon, la Digue Camin, la Digue royale et les dunes des Baraques.Il fit construire
cette digue qui portra son nom entre le Fort-Nieulay et les Baraques pour contenir les eaux de
l'arrière port.
Nous rejoignons alors la rue de Verdun à Calais pour prendre, à droite, la nouvelle véloroute sur la
Digue royale.
Cette voie cyclable et piétonne longe Blériot-Plage à droite, croise le Fort-Nieulay à gauche et file
jusqu’à l’arrière du magasin Leroy-Merlin, zone de la Française. Du macadam recouvre l’ancien
chemin caillouteux, plusieurs fois centenaire,et autrefois créé pour lutter contre la submersion
marine et servir aux manoeuvres militaires. Il était prisé des vététistes et offre aujourd’hui un
parcours agréable (et plat) de deux kilomètres à travers champs.
En novembre 2025, le Dragon de Calais ne sera bientôt plus seul sur les routes. Un varan de
voyage, cousin du Dragon, fera son apparition. Il empruntera de nouveaux parcours, dont la Digue
royale rénovée, afin de se rendre derrière le fort Nieulay. Sur le parcours, une aire de dégagement ,
située derrière le magasin Leroy-Merlin, a été prévue afin de permettre au Varan de Calais de faire
un demi-tour.
Nous empruntons la Digue royale jusqu'au chemin de la Française que nous prenons à droite pour
rejoindre le point de départ de cette randonnée.
Merci à tous les participants
Catherine Bernadette

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Une randonnée à la campagne en pleine ville.

Alors qu’une grande partie de nos amis randonneurs de l’Arco sont en train de cuire dans la chaleur des Vosges, nous nous sommes retrouvés à 13 et au début sous une petite pluie rafraichissante, devant la Salle Calquella pour une boucle de 8km.

Où se déroulait cette très agréable randonnée?

Le nom du point de rendez-vous nous l’indique.

Calquella fait partie de la longue liste des noms, Qualquella, Calquella, Galewilla, Kalquilla.,Calkwell ou Calkewell et Kalkully et enfin en 1558 Conquelle. qui ont précédés le nom définitif de Coquelles, cette petite ville à la campagne lieu de notre randonné de ce dimanche.

Ce beau parcours, concocté par Christian et Francine, nous a conduit à travers des chemins ombragés, entre saules et cerisiers, puis dans la plaine le long des watergangs.

Une petite incursion à travers le village nous a conduit vers le cimetière de Coquelles, longeant les champs d’orge dorés sous le soleil qui nous a rejoint à mi parcours.


Pour finir une petite lecture des panneaux nous racontant l’histoire du chantier du tunnel nous a conduit à une dernière photo du groupe devant le tunnelier Virginie.

Une belle balade, où l’on a croisé des saules, des grandes consoudes, un magnifique cheval, des canards , des poules, une oie … et une poignée de promeneurs.

Prochain rendez-vous mardi prochain pour les digues de Blériot Plage.
jean maurice

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Séjour Vosges du Nord, pays de Hanau, La Petite Pierre.
Jeudi 26 juin Rando le Tour de Ringendorf
à BOUXWILLER Visite guidée Musée Judéo alsacien

Dès 8 h 30 nous partons en voitures pour Ringendorf et son terrain de foot où nous pouvons facilement stationner sous des pruniers aux fruits déjà mûrs.
Cette fois deux groupes partent dès le début dans des directions différentes. Un troisième groupe animé par Guy arrivera un peu plus tard.
Le groupe Yves part vers le nord pour faire une première halte à l’orée d’un bois bien installé à une confortable table de pique-nique.
La traversée du bois nous amène à une table d’orientation où nous découvrons tous les villages très typiques de l’Alsace du Nord.
Voici le village de Buswiller, à la sortie duquel nous retrouvons le groupe Guy pour se diriger tranquillement vers le point pique-nique. Celui-ci se trouve à l’ombre près d’un ancien lavoir. Nous y devons retrouver le groupe Martine mais celui-ci nous semble bien long … enfin le voici. Le groupe a été un peu retardé par la chute de Jeanine dont les lacets de chaussures lui ont joué des tours (et des boucles !) mais plus de peur que de mal : simplement quelques éraflures à soigner.

Le groupe Martine, parti au sud de Ringendorf, est passé par le village d’Issenhausen, avant de gravir la Hungerberg et ainsi dominer le village de Kirrwiller puis leur parcours a suivi le même cheminement que celui du groupe Yves.

Le pique-nique avalé, nous terminons cette matinée en découvrant les ruelles de Ringendorf, où une grange à brûlé récemment, dégageant encore une odeur âcre et inquiétante.

De retour aux voitures nous nous rendons à Bouxwiller pour visiter le musée judéo alsacien. Mais comme il est un peu tôt, nous en profitons pour découvrir la rue principale et surtout ses salons de thé avec ou sans bière mais surtout avec glaces !

Revenus au musée, nous apprenons que notre guide n’est plus disponible mais l’agent d’accueil le remplace au pied levé et nous présente magistralement la genèse de ce musée, avant de nous le laisser découvrir en autonomie.
Ce Musée Judéo-Alsacien occupe le bâti noble et classique de l'ancienne synagogue du village, datant de 1842. Il retrace l'histoire des juifs d'Alsace et vous fait entrer dans le monde de leurs traditions.
Gilbert WEIL, enfant caché pendant la guerre, a sauvé de la démolition la Synagogue de son enfance à Bouxwiller, avec cette idée absolument novatrice pour l’époque, en 1983, d’en faire un musée du judaïsme alsacien.

Ses qualités d’architecte et urbaniste, associées à un don certain pour le dessin et à une grande habileté manuelle, mais aussi à une rigueur pointilleuse dans tout ce qu’il entreprenait, lui ont permis de créer ce musée pédagogique, interactif et moderne.
Le musée est entièrement pétri de son génie propre, dont l’humanisme et une piété profonde, mais aussi un sens aigu de la laïcité, étaient les qualités principales.

Nous y découvrons avec intérêt et gravité les coutumes, persécutions et méfiances de cette communauté qui a été dans plusieurs villages du Nord Alsace acceptée, respectée, et tolérée, surtout par la communauté luthérienne protestante.

Une belle page d’histoire et d’humanité.

Description:

Séjour Vosges du Nord, pays de Hanau, La Petite Pierre.
Mercredi 25 juin La Petite Pierre Promenade en forêt domaniale trésors des Vosges du Nord
Graufthal Les maisons des rochers

Cette journée s’annonce très chaude (prévisions de 33° l’après-midi) et nous hésitons à maintenir le programme prévu.
Nous maintenons la rando du matin et modifions celle de l’après-midi pour rester en forêt.

Au départ du centre de vacances, nous pensons à Dorothée, qui accompagnée de Michel, est partie en consultation à l’hôpital.
Nous descendons dans le vallon, non sans avoir admirer la maison des Païens, de style Renaissance, construite en 1534, c’est la seule construction de ce type en Alsace.
On dit le lieu magique parcouru de fortes ondes telluriques, certains lui trouvent des vertus apaisantes pour l’âme. Des traces de construction dans la cave attestent d’une présence gallo-romaine, d’où son nom : Maison des Païens.

Cette longue descente (qui nous fait augurer de belles remontées futures) nous amène aux étangs d’Imsthal que l’on dit très poissonneux, malheureusement Jacques ne randonne pas avec sa canne à Pêche et nous ne pouvons pas vérifier !

Là deux groupes se forment, le premier, emmené par Martine poursuit vers le sud pour découvrir Heidekoepfel, et suivre un sentier peu accidenté pour rejoindre Loosthal. En chemin ils découvrent l’auberge d’Imsthal très fréquentée.

Le deuxième groupe avec Yves se dirige vers Loostahl où l’on rencontre un randonneur itinérant qui relie tous les châteaux d’Alsace !
Le chemin serpente dans la forêt et nous amène au rocher très particulier de la Grenouille. De temps à autre le sentier passe par des balcons sécurisés qui permettent de beaux points de vue.
Parfois au beau milieu d’une randonnée, nous avons envie de nous arrêter et de prendre le temps de regarder autour de nous, de profiter de cette ambiance si particulière, d’apercevoir la faune ou de contempler le relief qui s’étend au loin. Une balancelle nous offre la possibilité de s’octroyer ce moment privilégié pour apprécier le paysage.
Le parcours nous conduit en surplomb du centre de vacances et par un chemin discret nous regagnons notre hébergement pour y déguster un délicieux déjeuner qui nous change avantageusement du pique-nique habituel.

L’après-midi, nous partons pour Graufthal un hameau d’Eschbourg qui a la particularité de présenter des maisons de rochers, autrement dit troglodytes. Selon Jean-Pierre, il y bien longtemps vivait là un peuple nommé « les Glodytes ». Mais très vite ils devinrent très nombreux, vraiment « trop Glodytes » !
Nous visitons l’église et le temple ; en effet comme dans beaucoup de villages de cette région, les deux cultes cohabitent en toute sérénité. Les deux groupes cheminent sur le même parcours jusqu’au point Schierthorfelsen. Mais celui-ci est en contre bas et seuls quelques intrépides se risquent à aller prospecter ce mystérieux endroit. A leur retour nous apprenons qu’il s’agit de grottes. Ils reviennent même avec un VVTiste qui, sous nos encouragements, parvient à gravir la très forte pente.
Le groupe Martine poursuit le chemin forestier vers le Sud pour revenir le long des ruisseaux Niederbaechel et la Zinsel du sud.
Le groupe Yves franchit un dénivelé descendant pour aboutir sur le GR 53 st suivre également la Zinsel du Sud.
Près de notre point de retour nous longeons une ligne de ruches surmontées de nuées d’abeilles bourdonnantes et apparemment énervées ! c’est avec beaucoup de précaution et silencieusement que nous passons ce point délicat. Nous prévenons l’autre groupe qui doit passer au même endroit.
Après cette belle et chaude balade une petite halte s’impose au café du village pour certains ou à l’Hôtel des 3 roses pour d’autres.

Voilà une belle journée malgré la crainte de la canicule.

Description:

Mardi 24 juin WINGEN SUR MODER Découverte du patrimoine verrier et forêt des Vosges

Ce jour trois groupes se forment : un groupe de suiveurs véhiculés (Dorothée, Yves et Guy) ; un groupe principal pour 12,5 km avec Martine et un groupe animé par Jean-Pierre.
Celui-ci écrit : En ce 24 juin nous fûmes 3 membres de l’ARCO à nous lancer dans un nouveau défi : effectuer une randonnée de 7,4 km incluant le parcours sportif de Wingen sur Moder, 2 différents ateliers nous ont tendus les bras (et les jambes !) Il ne nous fût pas facile d’y résister mais tenu par l’horaire, et avides de trouver la mairie nous poursuivîmes notre chemin.
Deux franchissements de la Moder plus loin, et ce fut cap sur le Hochberg, menu de notre après-midi.
En tant qu’animateur, je tiens à remercier mes deux serre-files du jour.

Le groupe véhiculé retrouve d’abord le groupe Jean-Pierre à l’entrée du parcours sportif, puis se rend à l’église de ZITTERSCHEIM pour aller à la rencontre du groupe Martine avec lequel on parcourt quelques centaines de mètres.

Ce groupe dès le départ, parcours le sentier des verriers qui retrace l’histoire des célèbres verriers de la région, puis rencontre des chevaux d’un haras, chemine en lisière de bois pour y pénétrer et longer la propriété de la ville Lalique, où ils admirent cette maison imposante et luxueuse entourée de magnifiques jardins et de prix inabordables d’hôtellerie et de restauration.

La forêt rafraichissante accueille les randonneurs avant de contourner un paisible étang pour ce retrouver au Far West au soleil, à l’image d’un portail de Ranch !
Ils traversent une prairie fraichement coupée pour retrouver un nouvel étang avant de gravir la rue de la montagne.

De retour au parking du musée Lalique, nous négocions la possibilité de déguster notre pique-nique au restaurant « Bistrot du Musée ». Un accord est obtenu moyennant un droit d’assise de 3 € !

Puis, nous effectuons une visite guidée du musée d’abord à l’extérieur pour découvrir tout le passé verrier de la région, puis à l’intérieur pour apprécier la sensibilité artistique, le sens de l’entreprise et du commerce de René Lalique qui a fortement marqué la région. Il s'est rendu célèbre par ses créations étonnantes de bijoux, puis de flacons de parfum, de vases, de chandeliers, d'horloges et, à la fin de sa vie, de bouchons de radiateur de voitures. L'entreprise qu'il a fondée fonctionne toujours. Son nom est resté attaché à la créativité et la qualité, car il a toujours su dessiner des objets fastueux mais restant discrets.

Après une « réunion concertation traditionnelle » nous dégustons un excellent repas avant de participer à mémorable Karaoké ! Où les arcociennes se sont éclatées et « ont mis le feu » à l’image de Dorothée, transcendée par la musique oubliant son handicap avec ses deux bras peu utilisables, il fallait même lui tenir le micro !

martine Yves

Description:

Séjour Vosges du Nord, pays de Hanau, La Petite Pierre.
Dimanche 22 juin Les rochers et le chemin des insectes.
Le veille tous les participants ont bien voyagé en 5 à 6 h pour rejoindre cette région des Vosges du Nord très verdoyante, avec des reliefs bien marqués et un côté très germanique.
Nous nous sommes installés confortablement au centre de vacances ULVF avec 2 autres clubs de rando.
L’ambiance du samedi soir fût assez animée !
En raison des fortes chaleurs annoncées c’est peu après 8 h 30 que les 25 participants se lancent sur un chemin confidentiel à flanc de colline pour rejoindre le haut du village.
Toute de suite nous sommes confrontés à des dénivelés inhabituels, mais nous offrant de beaux points de vue, le dépaysement est bien au rendez-vous !
Le plus agréable, c’est le sentier forestier relativement plat bien à l’ombre rafraichissante. De temps à autre nous sommes accompagnés d’une volée de cloches annonçant différents offices dominicaux.
Voici le Rocher Blanc sur lequel est aménagé une plateforme qui permet de découvrir une belle vallée forestière.
En réalité le rocher est plutôt rose comme beaucoup de pierres du chemin, de pierres de construction ou encore de soutènement. Il semble que les carrières de grès rose sont légion dans ce territoire.
Etrangement, Nous y sommes accueillis par un chat peu sauvage qui semble nous faire les honneurs du site.

Nous écourtons quelque peu le parcours prévu pour descendre vers un ruisseau. Là deux groupes se forment, un premier groupe suit ce ruisseau dans l’un de ses méandres, avant d’escalader la colline par un dénivelé important et ainsi atteindre le Rocher du Corbeau (alt 347 m), mais là aucun corbeau pour accueillir les valeureux randonneurs. Malheureusement, notre amie Dorothée fait une mauvaise chute en butant sur une racine. Si, dans un premier temps il ne semble pas avoir de fâcheuses conséquences, plus tard, elle souffre et doit mettre son bras gauche en écharpe. Peu après le pique-nique elle sera rapatriée avec Michel par un très serviable loueur de vélo, et prise en charge rapidement aux urgences de Saverne.

L’autre groupe de 6 personnes se dirige lentement vers le vieux bourg de La Petite Pierre par une montée régulière et tout de même éprouvante car la température est déjà de 28 °. Ce groupe repère un joli coin pique-nique dans le Jardin des Poètes.

Après s’être bien restaurés, nous découvrons le vieux bourg Staedtel, son château, son église où, étrangement tous les randonneurs s’installent et semblent se recueillir dans un silence quasi religieux ou peut-être simplement heureux et béats de profiter d’un peu de repos dans cet édifice bien frais.
Cette église est qualifiée de « simultanée » c’est à dire quelle accueille à la fois les offices catholiques et protestants
Nous quittons alors Staedtel par le chemin des remparts tirant la langue par cet après-midi caniculaire, cherchant pour certaines un glacier, pour d’autres un bar aux bières rafraichissantes.
C’est chose faite à l’Hôtel restaurant des 3 Roses sur une terrasse bien ombragée offrant un superbe panorama sur la vallée forestière. Il serait bien agréable que cet endroit devienne notre QG de fin de rando !

Le retour au centre de vacances se fait tranquillement, bienheureux de pouvoir se doucher et se reposer avant la soirée. Nous attendons avec impatience des nouvelles de Dorothée.
Son humérus gauche est cassé au niveau du coude mais sans déplacement. Elle doit porter Une attelle Dujarier et a un RDV de contrôle mercredi matin.

Description:

Bonjour, nous sommes 21 randonneurs à démarrer de la mairie. Sous un soleil éclatant.
Fréthun est un village chaleureux et accueillant de 1300 habitants que l'on appelle les fréthunois.
Nous partons près des écoles et des salles de sport. Nous nous dirigeons vers Bonningues Les Calais. Nous progressons vers la gauche sur le PR à travers champs, nous découvrons le paysage à 360°. Les villages aux alentours, la centrale électrique IFA 2000 . Les monuments en hauteur de la ville de Calais sont visibles.
Nous longeons la ligne de chemin de fer , dont nous longeons l'arrière pour se retrouver près du parking.
Nous avons cheminé sur la route principale vers la droite.
Après le 1er rond-point nous poursuivons le chemin à gauche, nous coupons à travers les prairies "Le Bas Champ et les Argillières".pour rejoindre le point de départ.
Nous remercions tous les randonneurs pour cette belle randonnée.
A la prochaine aventure.
Bernadette et Sylviane

Description:

Le 15 juin 2025, nous avons eu le plaisir de partir en randonnée depuis Bonningues-les-Ardres, un charmant village situé dans la région de l’Ardresis. Nous étions un groupe de 28 randonneurs , rassemblés sur le parking de la Mairie. Après une première photo de groupe, l'animateur du jour nous a expliqué le programme de cette belle journée qui promettait découvertes et immersion dans la nature.
Le matin : Forêt de Tournehem et Histoire
La première étape nous a conduits à la forêt de Tournehem, avec un focus particulier sur la zone du Héricat. Nous avons emprunté le chemin du trou perdu, un sentier qui nous a offert de beaux efforts physiques, notamment sur un terrain accidenté, suite aux dernières coupes de bois. L’aspect sauvage du lieu apportait une immersion totale dans la nature,
Puis, le chemin s'est adouci, et nous avons pris la direction d'une base de lancement V1, un site historique qui témoigne de la Seconde Guerre mondiale. C’était un moment marquant de notre randonnée, en particulier en apprenant que cet endroit faisait partie d’un dispositif mis en place par les nazis, dirigé par Fritz Todt. Un lieu chargé d’histoire qui nous a plongés dans un autre temps.
Ensuite, nous avons descendu la vallée d'Alquines, un moment particulièrement agréable qui nous a permis de reposer nos jambes tout en admirant les paysages verdoyants qui nous entouraient.
Le matin s'est conclu par une pause au village pour un repas bien mérité au Café de la Mairie. Un grand merci aux propriétaires qui nous ont accueillis chaleureusement, et ce, même en ce jour spécial de la fête des Pères. Un moment convivial qui a permis de renforcer l'esprit de groupe.
L'après-midi : Découvertes et Nature
L'après-midi, nous avons repris notre route pour une nouvelle randonnée de 7 kilomètres.Nous etions 24 randonneurs dont 3 nouveaux Stephane, ,chantale et Denise , Nous avons d'abord passé devant l'entrée du verger de Rosamee, un projet qui fait partie d'une initiative plus large de conservation de la biodiversité. Ce lieu, géré par des passionnés, offre des ateliers pédagogiques pour sensibiliser la population à l'importance de préserver notre environnement naturel.
Le sentier nous a ensuite conduits à un charmant pont enjambant l'Aa, un cadre idéal pour une petite pause et quelques photos. À proximité, nous avons découvert la chapelle La Cousinette. Ce lieu de culte a été édifié par les habitants en remerciement de Dieu, après qu'une petite fille ait miraculeusement échappé à la mort lors d'un accident de chariot. Une histoire poignante qui a marqué l'histoire locale.
Puis, notre chemin nous a menés vers les hauteurs de Bonningues, avec une vue imprenable sur la chapelle Saint-Louis, un autre site emblématique de la région. Les coteaux autour du village étaient autrefois exploités par les agriculteurs pour extraire de la craie, utilisée pour fertiliser les champs. Dans les années 70, une pratique ancienne, l’écobuage, était encore en usage lors du premier week-end de Carême. Ce feu permettait de brûler les zones de refus laissées par le troupeau, ce qui rendait l'herbe plus appétante pour le bétail.
Conclusion
Cette journée de randonnée a été l'occasion de découvrir la richesse historique, culturelle et naturelle de l'Ardresis. Entre moments de contemplation, découvertes historiques et partages conviviaux, nous avons pu apprécier la diversité de cette belle région. Un grand merci aux participants ,Trés bonne prestation du café , lieu a retenir pour de prochaines randonnées,
J'espère que ce commentaire résume bien l’expérience de la randonnée !
frank laurence

Description:

La véritable histoire,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,
Dans ces temps anciens (très) que nous n'avons pas connus ,
il n'y avait qu'ici ,qu'un hameau habité par quelques éleveurs
de chèvres et de moutons ,néanmoins la topographie des lieux
était telle que de nos jours ,à savoir une partie basse près de l'actuelle
Mairie et un coteau ou l'on peut profiter d'une vue panoramique ,
Jadis donc les chevriers incitaient le mâle dominant en tète du
troupeau à gravir ce coteau sous le vocable de « bouc haut ! »
Les années passant et la transmission orale ayant cédé la place
à l'écriture et son évolution,l'expression « bouc haut »s'est petit à
petit transformée en « bouquehault » nom aujourd’hui figurant
sur nos cartes IGN ,
Beaucoup d'entre nous sont maintenant ravis d'associer la marche
et la culture ! Aujourd'hui la météo était avec nous et notre parcours
aisé sous le soleil .
Merci à tous mais non» merci beaucoup » qui est «  merci Bouquehault » en verlan,,,,,,,,,,,,,,,,
JP F