Rando du Dimanche
: hemmes de marck
Nombre de participants: 37
Nombre de kilomètres: 8 kilométres 600 métres
Dates:
13/11/2022

Raccroc de l’AG ».
Un matin assez frais pour accueillir devant la maison des Islandais 37 participants, dont Annick, de Marck, qui est la 82ème adhérente de cette nouvelle saison.
Nous partons cette fois vers l’Est pour cette habituelle marche appelée aussi le « bol d’air du Polder ».
La première rue à droite nous permet de rejoindre le chemin dunaire où nous remarquons de nombreux restes de la présence de migrants.
Un petit avion (drone ?) passe et repasse au-dessus de nos têtes et semble contrôler la fréquentation d’éventuels candidats à une traversée clandestine.
Nous sommes maintenant sur l’estran et prenons la direction Ouest. Des coups de fusils ne nous rassurent pas et nous essayons de marcher plus groupés.
Le parcours longe les flaques de hutte, parfois nous devons enjamber, non sans difficulté, des ruisseaux d’eau stagnante.
Nous croisons un drôle d’équipage qui revient du bord de mer : il s’agit de chasseurs qui ont terminé leur partie de chasse et transporte sur un hutte flottante !
Après le parking du phare de Walde, voici la digue Taff et son belvédère. Le soleil commence à nous réchauffer et nous invite à ôter une couche.
Passage le long d’un pré humide pour rejoindre la digue Royale. Il faut alors modifier notre parcours car le chemin prévu est complétement inondé !
Retour donc par la dune boisé, où, cette fois nous devons contourner deux restes de feux de bois encore fumants qui ont dû réchauffer quelques migrants cette nuit.
Voici la maison des Islandais où nous allons pouvoir nous restaurer joyeusement.
Mais non ! impossible d’ouvrir la porte ! Un mystérieuse serrure récalcitrante … heureusement il existe dans nos rangs un intrépide MacGyver, qui nous sauve d’une grande détresse : Bravo Philippe !
Enfin nous pouvons accéder à nos boissons et victuailles et une nouvelle festivité se met en place tout naturellement, avec le plaisir et la joie d’être ensemble.
Nous nous quittons contraints et forcés en se promettant de vivre encore bien souvent de tels moments !